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PEGASUS : un système mondial de surveillance numérique
3 août 2021, par Patrick Cotrel - #Au fil des joursExtraits de l’article de Amnesty International.
Vous avez dû entendre parler de l’affaire Pegasus.
Projet Pegasus, c’est le nom de cette enquête à grande échelle. Amnesty international a travaillé avec le réseau de journalistes de Forbidden Stories pour révéler des pratiques illégales d’espionnage téléphonique contre des journalistes, des avocats, des chefs d’État, des défenseurs des droits humains, via le logiciel Pegasus, commercialisé par l’entreprise israélienne NSO Group (proche du gouvernement israélien). Le rôle d’Amnesty International a consisté à analyser les téléphones des personnes susceptibles d’être soumises à une surveillance électronique. Ce sont les équipes du Labo sécurité d’Amnesty Tech qui ont mené les investigations techniques, en développant des outils de pointe. De leur côté, les journalistes ont mené leurs propres recherches.L’enquête a identifié 180 journalistes dans 20 pays potentiellement ciblés par le logiciel de NSO Group entre 2016 et juin 2021. Plus de 1 000 Français auraient été visés par ce logiciel espion.
NSO Group, une entreprise israélienne très opaque
Le business de la surveillance numérique est en plein essor. Parmi les acteurs phares de ce secteur, très discret mais extrêmement rentable, une société israélienne : NSO Group. L’État hébreu est l’un des principaux exportateurs de surveillance dans le monde.
Fondée en 2010, NSO Group est aujourd’hui un acteur majeur de l’industrie opaque de la surveillance. Elle est à l’origine d’attaques numérique dans au moins 45 pays, selon Citizen Lab. Selon la société NSO, ses logiciels de pointe sont destinés à aider les États à lutter contre le terrorisme ou la cybercriminalité. En réalité, on constate de graves abus : NSO vend ses logiciels à des États qui cherchent à espionner les dissidents et les journalistes.
Par ses activités commerciales non contrôlées, l’entreprise israélienne dote plusieurs pays d’outils de surveillance politique potentiellement illégale. En niant ses responsabilités concernant le respect des droits humains dans le cadre de l’usage de ses logiciels, NSO se rend complice de nombreuses violations. Elle contribue ainsi à mettre en grave danger des défenseurs des droits humains comme des journalistes ou des avocats.Pegasus, un logiciel espion redoutable
Pegasus est le produit star de NSO Group. Ce logiciel d’espionnage, extrêmement puissant, s’infiltre dans les téléphones portables. Il peut en aspirer tout le contenu, messages, photos, contacts. Plus encore, il peut prendre le total contrôle de votre appareil : accès à votre caméra, suivi des frappes de votre clavier, écoute et enregistrement de vos appels téléphoniques. La liste pourrait encore s’étendre. Une fois installé sur votre téléphone portable, Pegasus peut tout capter, tout surveiller.
Le problème est grave : la société israélienne vend son logiciel à des pays comme l’Arabie saoudite, le Mexique ou le Maroc qui l’utilisent pour cibler des opposants ou de simples journalistes. Ce logiciel dangereux permet à ces États d’exercer une « violence numérique » qui peut avoir des répercussions graves dans le monde réel.
Les affaires déjà révéléesPegasus potentiellement impliqué dans l’assassinat de Jamal Khashoggi
Des journalistes et militants espionnés au Maroc
24 personnes ciblées au Mexique
Un membre d’Amnesty International visé
WhatsApp piraté
Les recherches passées et les révélations en cours démontrent à quel point le monde numérique est devenu un nouveau champ de bataille où s’exercent des manœuvres d’intimidation et de surveillance. En attendant que NSO et l’industrie dans son ensemble démontrent qu’elles sont capables de respecter les droits humains, nous demandons un moratoire immédiat sur l’exportation, la vente, le transfert et l’utilisation des logiciels de NSO Group et sur l’utilisation des technologies de surveillance.
SURVEILLANCE NUMÉRIQUE CIBLÉE : NON AU BIG BROTHER 2.0
Les attaques numériques contre les défenseurs des droits humains, journalistes et citoyens augmentent. Les révélations du Projet Pegasus en sont un exemple flagrant. Il est temps de mettre fin à cette surveillance illégale ciblée !Pour en savoir plus, cliquer ici.
Pour signer la pétition d’Amnesty International, cliquer ici.
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Les chiffres de Pôle Emploi en juin 2021
30 juillet 2021, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #EmploiBaisse du chômage en juin 2021 ?
Les journaux titrent sur la baisse du chômage en juin : le nombre de demandeurs d’emploi de cat. A a diminué de plus de 72 500 au cours du mois.
A y regarder de plus près, on constate que durant juin, le nombre de demandeurs de cat. B et C a augmenté de 65 600. Ce qui fait que que le total des demandeurs de cat A, B et C n’a diminué que de 7 000 (sur 5,671 millions, soit 0,12%).
(Attention au graphe ci-contre : l’échelle des demandeurs commence à 3000 milliers pour permettre de visualiser les tendances)..Explication :
Il est vrai qu’il y a beaucoup d’offres d’emploi dans la période actuelle :l e niveau des offres recueillies par pôle Emploi est revenu au niveau d’avant la crise sanitaire.
Mais de quels types d’offres s’agit-il ?
65 600 demandeurs d’emploi recherchant un emploi en CDI et à temps plein (donc de catégorie A) ont accepté un emploi à temps partiel ou/et de courte durée (un petit boulot). Ils représentent la très grande majorité des demandeurs d’emploi ayant trouvé un emploi. Ils se sont donc retrouvés inscrits en catégorie B ou C à Pôle Emploi
Autrement dit, une grande majorité des offres correspondent à des emplois précaires et/ou de courte durée.
Il est évident que les exigences des employeurs pour ces offres sont la bonne et courte adaptation (et qualification) au poste de travail : les chômeurs de longue durée en sont exclus.
Et cela est confirmé par les statistiques : le chômage de longue durée ne baisse pas, et la durée moyenne du temps de chômage continue d’augmenter (678 jours en juin), malgré la légère diminution du nombre de chômeurs de cat. A, B et C.. Ceux qui sont enferrés dans le chômage de longue durée n’en sortent pas. A l’évidence, la crise sanitaire exclue les plus fragiles.
Et ce n’est pas en multipliant les offres de contrats courts, ni en diminuant les indemnités de chômage qu’on pourra effectuer le long travail de réinsertion et de requalification nécessaire aux chômeurs de longue et très longue durée.Une croissance retrouvée ?
Malgré l’ode à la « croissance retrouvée » du ministre de l’économie, nous sommes loin de la situation d’avant crise (février 2020) : le nombre de demandeurs de cat A a augmenté de 184 000 (+5,7%) et ceux de cat B et C de 105 000 (+4,9%), soit une moyenne de +5,37 % pour le total des chômeurs de cat. A, B et C.
Le ’bon’ mois de juin 2021 a permis de gagner une baisse de 0,12 %. Il en faudra de nombreux pour combler le retard...Remarque sur les statistiques par commune :
Jusqu’en 2018, ces statistiques par commune des demandeurs d’emploi de cat. A, B et C étaient publiées par le ministère du travail en févier.
Mais en 2019, elle n’ont été publiées qu’en août 2020 (en raison des élections municipales ?).
Mais à nouveau, cette année, les statistiques de 2020 viennent seulement d’être publiées en juillet 2021 !
Soulignons que cette situation est inadmissible, puisque tout le monde sait qu’elles sont prêtes dès le mois de février. -
Réalité mondiale du réchauffement/dérèglement climatique
24 juillet 2021, par Patrick CotrelCe qui suit est la retranscription d’un article publié par Ouest-France du 22 juillet 2021.
Il résume bien le constat dramatique que nous devons faire aujourd’hui.L’hémisphère Nord chahuté
Des Etats-Unis à l’Allemagne en passant par la Sibérie, une quarantaine de pays sont actuellement frappés par des crues, des incendies et des vagues de chaleur d’une ampleur inédite.Du feu
Quelque 300 feux ravagent l’ouest canadien depuis plusieurs semaines après un épisode de chaleur très intense fin juin. En Colombie Britannique, les autorités ont déclaré l’état d’urgence et des milliers d’habitants ont été sommés d’évacuer leurs habitations. Dans cette province, 3 000 km2 sont déjà parties en fumée ; c’est déjà trois fois plus que la moyenne sur les dix dernières années.
De l’autre côte de la frontière, quatre-vingt-trois gros incendies ravagent les Etats-Unis, certains si dangereux que les pompiers les comparent à des « monstres ». Le Bootleg Fire, dans l’Orégon, est de loin le plus impressionnant. Déjà plus grand que la ville de Los Angeles, ii ne cesse de grossir, attisé par des vents et une importante sécheresse.
Même New York, à l’autre bout du pays, a été couverte mardi d’un voile gris au goût de fumée, causé par ces incendies. Une alerte a la qualité de l’air a été diffusée.
Une telle vague de chaleur dans l’ouest du Canada et des USA est un
« évènement qui n’a lieu qu’une fois par millénaire » et qui aurait été
« virtuellement impossible sans le réchauffement climatique », selon les experts du World Weather Attribution.
En Sibérie, près de 220 foyers sont actifs dans la région très peu peuplée du Sakha-Yakutia (nord-est). 6 500 pompiers, aidés par l’armée, les combattent. « Nous faisons face à l’été le plus sec en 150 ans et le mois de juin a battu tous les records de chaleur », a precise Aysen Nikolayev, le maire de Yakutia, la capitale de la province. Cette vague de chaleur affecte aussi la Scandinavie.De l’eau
Après les crues dévastatrices de Belgique et d’Allemagne (201 morts), c’est l’Asie qui se retrouve sous les eaux. En Chine, le centre du pays est frappé par des pluies diluviennes inédites en soixante ans, qui ont fait au moins vingt-cinq morts et des millions d’euros de dégâts.
Des inondations « extrêmement graves » de l’aveu même du président Xi Jinping, ont frappé Zhengzhou. Cette ville de 10 millions d’habitants à 700 km au sud de Pékin, a reçu en l’espace de trois jours !’équivalent de près d’un an de précipitations (644,6 mm en 24 heures contre 640,9 mm en moyenne annuelle).
En lnde, la ville de Bombay est frappée par des pluies de mousson depuis samedi. Trente-trois personnes ont déjà péri. Les fortes pluies devraient se poursuivre jusqu’au 24 juillet. Elles affectent aussi l’lndonésie. En Australie, la ville de Perth a battu un record de pluviométrie vieux de 20 ans et la météo annonce de nouvelles fortes pluies pour les semaines à venir.
La Nouvelle-Zélande n’est pas épargnée non plus : 733 mm d’eau en trois jours, soit 119 % des précipitations annuelles sur la côte Quest !Des dômes de chaleur
Dans !’hémisphère Nord, les records de chaleur s’enchainent. Actuellement, des hautes pressions emprisonnent l’air chaud et agissent comme un couvercle sur une casserole. Le phénomène n’est pas inédit, mais son intensité et sa multiplication sont inquiétantes. Les scientifiques observent aussi leur durée qui se prolonge et leur influence sur les vents de haute altitude qui s’affaiblissent et perturbent le climat dans l’hémisphère Nord. De tels dômes de chaleur sont localisés sur les côtes ouest de l’Amérique du Nord et en Sibérie que ravagent les incendies. Trois autres sont actuellement recensés en Turquie (49,1 °C à Cizre mardi), dans le nord du Japon (île d’Hokkaido en particulier) et sur les îles britanniques, où une alerte maximum a été décrétée jusqu’à ce jeudi. Autant d’endroits où les records de températures ont récemment été battus. -
Un groupe Ecolo au Conseil départemental du 44
21 juillet 2021, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Energies - Climat - #Développement DurableLa première session du nouveau Conseil départemental s’est déroulée le 19 juillet.
Pour la première fois, un groupe écologiste s’est constitué dans cette collectivité, et a pu s’exprimer lors de cette session.
Voici la composition du groupe (5 membres) :Chloé Girardot Moitié, vice-présidente Ressources, espaces naturels, biodiversité et action foncière et co-présidente du groupe
Ombeline Accarion, vice-présidente Handicap
Louise Pahun, vice présidente Sports solidaires, responsables et activités de pleine nature
Ugo Bessière, conseiller départemental en charge du plan alimentaire
Laurent Dubost, conseiller départemental en charge de l’économie sociale et solidaire et de l’économie circulaire, co-président du groupe.
C’est Chloé Girardot Moitié qui a fait la première intervention au nom du (nouveau) groupe.
Voici la conclusion de cette intervention :
"Enfin, et c’est peut-être là un des enjeux les plus fondamentaux de notre époque, la crise écologique, le changement climatique, l’effondrement massif de biodiversité sont des phénomènes qui, s’ils ne sont pas rapidement pris à bras le corps, menacent l’humanité.
Des récentes inondations meurtrières en Allemagne au gel qui menace notre filière viticole, l’actualité nous rappelle chaque jour la vulnérabilité de l’humain face aux dérèglements de la planète.
Concilier les activités humaines avec la protection de notre planète est une équation difficile, dont nous ne maîtrisons pas tous les paramètres. Comme chaque entité publique, la Loire Atlantique doit faire sa part, c’est sa responsabilité, et nous sommes convaincus qu’elle possède tous les atouts pour être pionnière.
Pionnière car nous pouvons nous appuyer sur un héritage. Les bâtisseurs d’hier ont fait de notre département ce qu’il est aujourd’hui : un territoire de promesses, vivant, apprécié. Cet héritage nous sera utile pour nous réinventer, soyons, nous aussi, ambitieux et visionnaires.
Pionnière par les leviers dont elles disposent : habitat, mobilités, action foncière, eau, plan alimentaire.
Pionnière car le département est un échelon clé pour la transition, intermédiaire entre l’investissement régional et la proximité communale, moteur sur les synergies entre les territoires et en première ligne pour assumer ce rôle de protection de tous les habitants.
Car quand je parle de protection de la planète, je parle bien évidemment de protection des plus fragiles et donc de l’urgence sociale, je parle bien évidemment de protection des populations face aux risques et donc de leur sécurité. La récente canicule dans le nord-ouest des Etats-Unis a tragiquement mis en avant ces risques et ces disparités sociales. A Portland où les températures ont dépassées les 50 dégrées, la ville a dû mobiliser plus de 60 équipes de distribution d’eau et accueillir plus de 7000 réfugiés dans ses bibliothèques transformées en centres de rafraîchissement pendant que d’autres habitants ont eu la possibilité de partir.
Le groupe Écologiste, nouveau dans cette assemblée, souhaite apporter, au sein de la majorité, toute son énergie et ses idées pour répondre à ces défis.
Défis qui ne manqueront pas de susciter des discussions entre nous, je l’espère, car c’est chacun en bougeant ses lignes respectives que nous serons sans doute le plus proche de ce dont le territoire a besoin. Et, pour rassurer l’opposition, nous n’avons pas peur de ces débats qui contribueront à faire vivre nos différences et enrichir nos approches loin des postures mais avec rigueur et honnêteté intellectuelle, écoute, dialogue.
Continuons à travailler sur le fond, à s’appuyer sur la science et les citoyens, à s’inscrire dans une vision humaniste et de long terme. Les solidarités pour consolider les liens entre les humains, l’écologie pour réparer les territoires et préserver les ressources essentielles à la vie, l’action citoyenne pour faire ensemble.
Nous sommes impatients de participer à l’écriture de cette nouvelle page pour tous les habitants de la Loire Atlantique.
Je vous remercie."
Pour lire l’intégralité de son intervention, cliquer ici.
titre documents joints :- info document (PDF - 72 ko)
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Face à la Covid, que faire ?
17 juillet 2021, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement DurableL’intervention d’Emmanuel Macron du 12 juillet a provoqué des réactions très diverses.
D’une part, les centres de vaccination ont soudainement été débordés par près d’un million et demi de demandes de rendez-vous pour une injection du vaccin.
D’autre part, de nombreuses et diverses critiques circulent, et des manifestations ont même eu lieu.
Quelles critiques ?Certains nous disent que le gouvernement nous a menti à plusieurs reprises et qu’on ne peut donc pas le croire aujourd’hui.
C’est vrai que le gouvernement a tenté à plusieurs reprises de masquer, par une communication à la limite du mensonge, le manque de masques, le manque de tests et la mauvaise gestion des centres de vaccination...D’autres disent que les laboratoires pharmaceutiques en profitent pour accumuler les profits grâce à la promotion de l’État.
Il est vrai que certains laboratoires pharmaceutiques font d’énormes bénéfices. Et certains de leurs dirigeants sont devenus milliardaires…Beaucoup dénoncent le moment de cette annonce : il est impossible, pour les très jeunes en particulier, de se mettre en accord avec les règles annoncées, alors que nous sommes déjà à la mi juillet. Les parents se retrouvent démunis et en pleine incertitude pour le déroulement des vacances.
C’est tout à fait vrai : depuis plusieurs semaines, les signaux d’alerte étaient déjà évidents, et une annonce plus précoce, avec des délais plus réalistes, aurait été possible. Alors, on peut s’interroger : pourquoi assommer les gens par une annonce impossible à respecter ? Ne s’agit-il pas d’une opération politique très calculée : Le Président fait une déclaration très ferme et déterminée ; puis, dans un second temps,on distille des modalités d’application très assouplies qui démontrent qu’on a entendu les critiques et qu’on sait les prendre en compte…Certains dénoncent une quasi obligation à se faire vacciner, ce qui est contraire à la liberté individuelle.
On peut facilement objecter qu’il y a déjà 11 vaccins obligatoires, ce qui traduit le fait que la liberté individuelle doit s’arrêter au moment où l’urgence et l’intérêt collectifs sont en jeu. De plus, l’obligation de vaccination ne concerne que certaines catégories de la population, qui sont en contact avec les personnes les plus fragiles.Enfin, certains disent que l’obligation du ‘pass sanitaire’ pour avoir accès à certain lieux ou manifestations constitue une véritable discrimination.
Mais c’est pourtant une simple Mesure de bon sens : on ne laisse entrer dans des lieux où le risque de diffusion du virus est le plus grand que des personnes qui ont le moins de chances d’attraper le virus (en particulier d’en avoir des formes graves) et le moins de chance de le diffuser s’ils en sont porteurs asymptomatiques. C’est aussi une incitation à se faire vacciner.Comment combattre le virus ?
Au total, on constate que la très grande majorité des critiques portent sur les erreurs du gouvernement ou bien n’expriment que des gênes pour des raisons individuelles. Mais à aucun moment elles ne portent sur le fond du problème qui nous est posé : comment combattre la diffusion du virus et économiser de nombreuses vies humaines ?
Et aujourd’hui, la vaccination la plus large, en France mais aussi dans les pays du tiers monde, permet de réduire la circulation du virus (et donc la possibilité d’émergence de variants) et de réduire fortement les formes graves de la maladie et ses conséquences (décès, séquelles graves, …). Une personne vaccinée est largement protégée contre les formes graves de la maladie et transmet beaucoup moins le virus, si elle est atteinte d’une forme asymptomatique de la maladie.
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