Articles les plus récents
page précédente | 1 | ... | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ... | 335 | page suivante
-
Missak et Mélinée Manouchian entrent au Panthéon
21 février 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des joursIl y a aujourd’hui 80 ans Missak Monouchian et 23 membres de son réseau de résistants anti-nazi étaient fusillés au Mont Valérien par l’occupant.
Ce commando était composé de travailleurs immigrés en France et sympathisants du Parti Communiste (d’où le nom du commando MOI = Main-d’Oeuvre-Immigrée).
« ...Vingt et trois qui donnaient le coeur avant le temps
… Ving et et trois qui criaient la France en s’abattant »
En souvenir de cette date, le 21 février est une date de commémoration de la solidarité internationale.
En souvenir de cet évènement, Louis Aragon a écrit un texte mis en musique par Léo Ferré : l’Affiche Rouge, en rappel de l’affiche placardée par l’occupant nazi, qui souhaitait effrayer la population.Amie lectrice, Ami lecteur, prends quelques minutes pour écouter ce poème de Louis Aragon si magistralement chanté par Léo Ferré...
… en cliquant ici
et quelques minutes pour lire la dernière lettre de Missak Manoukian…
… en cliquant iciIl y a 0 message(s) de forum -
L’évolution du chômage en 2023, selon Pôle Emploi (France Travail)
4 février 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #EmploiUn chômage qui repart à la hausse :
Le dernier trimestre de 2023 a été marqué par une ré-augmentation du chômage en France.
On peut longuement discuter des causes de cette augmentation : crise du covid, guerre en Ukraine, …
Mais avant de débattre des causes, il faut d’abord faire le constat du phénomène et en décrire les caractéristiques (même à gros traits). C’est l’objet de cet article.Une diminution des offres d’emploi
C’est la première idée qui vient à l’esprit. Vérifions-la.
Le graphe ci-contre montre qu’il y a eu une relative stabilité des offres recueillies par Pôle Emploi entre Avril 2022 et mars 2023.
Puis, on a eu une stagnation en dents de scie, avec une tendance à la baisse depuis juillet 2023 : maxi en mars 2023 à 351 800 offres recueilles puis mini en avril 2023 à 314 600 offres, pour terminer à un mini de 296 300 offres en novembre, puis un maxi de 327 200 offres en décembre2023.
Bien entendu, Pôle Emploi ne recueille qu’une partie des offres d’emploi, mais la tendance à la baisse est très nette.Une augmentation du chômage décelable depuis 6 mois :
Comme le montre le graphique de droite, onpeut constater une augmentation globale du nombre de chômeurs de catégories A, B, C et D depuis le mois de juin : 5,686 millions de personnes en juin 2023, pour 5,802 millions fin décembre 2023. (voir rappel sur la définition des catégories).
Mais cette augmentation est due à une légère augmentation du nombre de chômeurs en cat. A.
Par contre, l’augmentation du nombre de chômeurs de cat. B et C est beaucoup plus nette :
2,312 millions en juin pour 2,402 Millions en décembre 2023 (+3,9%).
Explication :
Les premiers touchés par une baisse des offres d’emploi sont ceux qui exercent des ‘petits boulots’ de quelques heures ou semaines dans le mois, avec un contrat précaire (CDD ou intérim) : ce sont ces emplois qu’on supprime en premier dans les entreprises lorsqu’il faut ‘réduire la voile’. Cela correspond aux demandeurs d’emploi enregistrés en cat. B et C.Une augmentation sélective des chômeurs de longue durée (plus d’un an de chômage) :
Le nombre total des chômeurs de longue durée a diminué au cours de l’année 2023 : 2,395 millions fin janvier 2022 fin décembre pour 2,371 millions fin janvier 2023.
Cependant, il y a une grosse différence suivant la durée de chômage : le nombre de chômeurs ayant 1 à 2 ans de chômage a augmenté, passant de 921 000 fin décembre 2022 à 998 000 fin décembre 2023. Par contre le nombre des chômeurs ayant 2 à 3 ans de chômage a légèrement diminué (438 000 à 417 000 de décembre 2022 à déc. 2023), et le nombre des chômeurs ayant 3 ans ou plus de chômage a nettement diminué (913 000 à 824 000 de déc. 2022 à déc.2023).
Explication :
Les chômeurs ayant 1 à 2 ans de chômage sont les plus susceptibles de retrouver un emploi parmi les Chômeurs de Longue Durée. Pour autant, les chômeurs qui sont sortis récemment du travail sont fortement avantagés aux yeux des employeurs.
Ce sont donc ces CLD de moins de 2 ans de chômage qui ont fait les frais en premier lieu de cette baisse des offres d’emploi.
Quant aux autres CLD (plus de 2 ans de chômage) ils ont été les première victimes du durcissement des règles d’indemnisation décidées par le gouvernement début 2019 : Il faut maintenant au moins 6 mois de travail pour bénéficier d’un indemnisation ou d’une réactualisation des droits accumulés.
C’est à l’évidence pourquoi ce public a massivement basculé vers le RSA...Conclusions provisoires ...
Les mesures de régression sociale prises par le gouvernement, ainsi que les mesures de régression environnementale qui sont en train d’être prises ne permettent en aucune façon d’améliorer la situation qui devient grave.
Saurons-nous capables de reconstruire une perspective d’espoir ???...
Définition des catégories :
A = personnes privées d’emploi et recherchant un emploi et immédiatement disponible.
B et C = personnes ayant exercé un emploi à temps partiel au cours du mois (inférieur ou supérieur à un mi-temps) et cherchant un complément.
D = personne privée d’emploi , actuellement en formation professionnelle ou maladie (donc non disponible immédiatement). -
Quel Couvre-feu à l’aéroport de Nantes-Atlantique ?
31 janvier 2024, par Patrick Cotrel - #Déplacements - #Nantes MétropoleDepuis l’abandon de l’aéroport de Notre Dame des Landes, les commune riveraines de l’aéroport actuel de Nantes Atlantique, appuyés par toutes les communes de Nantes Métropole, ont réclamé dès 2019 l’instauration d’un couvre-feu permettant aux population environnantes de profiter de nuits calmes.
En avril 2022, un arrêté de restriction d’exploitation de l’aéroport a été instauré.
Mais depuis cette date, les manquements des compagnies aériennes au couvre-feu se sont multipliés, profitant du flou de la rédaction.
À l’automne, Clément Beaune, ministre délégué aux Transports, avait promis la réécriture du texte,Depuis, une proposition d’arrêté modificatif a été établie par les services de la DGAC (Direction de l’Aviation Civile) début2024.
Mais telle qu’elle est rédigée, cette nouvelle mouture est pire que l’actuelle, tant elle ouvre la porte à de nouvelles dérogations de la part des compagnies aériennes.C’est la raison pour laquelle, les 24 Maires de Nantes Métropole, toutes tendances politiques confondues, ont écrit le 19 janvier au Préfet un courrier commun précisant : « Nous partageons l’avis du collège de l’ACNUSA (Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires) qui nous indique que " la rédaction nouvellement proposée ne permet pas de renforcer la mise en oeuvre de "couvre-feu" existant et risque au contraire d’aboutir à l’effet inverse en offrant la possibilité aux transports de s’exempter de leurs responsabilités dans un nombre de situations plus important que ce qui est actuellement admis.
La proposition même d’arrêté modificatif présenterait ainsi le risque d’une régression des règles d’application (...)" »
Pour lire ce courrier, cliquer iciEn urgence, la DGAC vient de produire une version améliorée, même si elle ne satisfait pas complètement les Maires de Nantes Métropole.
Au final, le nouveau texte n’est pas plus sévère, mais il apparaît plus clair. « Au moins, il n’ouvre pas la porte à plus d’infractions. C’est une avancée positive, mais insuffisante »,tranche Jean-Claude Lemasson (maire de Saint-Aignan de Grandlieu), qui rappelle la volonté des maires de Nantes métropole d’aboutir au plus vite à un couvre-feu strict, cette fois sans aucune dérogation. Un souhait qu’ils reformuleront certainement à l’occasion de la consultation publique sur le nouvel arrêté,
(Voir Ouest-France du lundi 29/01/24)Les Maires de Nantes Métropole expliquent que leur demande est urgente pour 2 raisons :
d’une part parce que l’enquête publique concernant cette nouvelle version de l’arrêté est imminente (elle doit débuter le 5 février) ;
d’autre part, parce l’État vient de lancer (le 15 décembre dernier) un appel d’offres pour la concession des aérodromes de Nantes-Atlantique et Saint Nazaire Montoir. Il est important que les candidats soient éclairés sur cet aspect important de l’offre.
titre documents joints :- info document (PDF - 849.4 ko)
-
Hommage à Renée et Jean LOSQ le 27 janvier 2024
30 janvier 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Sainte-LuceC’est une cérémonie émouvante qui a eu lieu dimanche 27 janvier après-midi devant la Mairie, puis salle Renée Losq.
Cette cérémonie venait en appui à l’exposition sur la résistance nantaise, réalisée par les archives municipales de Nantes, en partenariat avec le Comité du souvenir et le musée de la Résistance nationale qui est actuellement installée sur le mail de l’Europe à Sainte-Luce, ; face à la salle Renée LOSQ.En particulier, la déclaration lue avec conviction par Me Nicole Badaud, au nom de l’ARAC et du Comité du Souvenir des Fusillés de Chateaubriant et Nantes, a été très forte.
Elle a dit, par exemple :
‘’Le 28 janvier 1943, au terme d’un procès qui n’en a que de nom, au palais de justice de Nantes, 45 résistants communistes, 40 français dont 2 femmes et 5 républicains espagnols sont condamnés par l’occupant nazi dont 37 à la peine de mort.
C’est un procès à grand spectacle, les murs de la salle sont recouverts de tentures rouges agrémentées de la funeste croix gammée. L’audience n’est pa ouverte au public et les débats sont menés en allemand, langue qu’aucun des prévenus ne comprend.
« Lorsque les sentences sont tombées, tous les gars se sont levés et ils ont chanté la Marseillaise, ils étaient enchaînés. ». Ces paroles sont celles de Renée Losq ; elles nous bouleversent toujours ; elles nous rappellent la même attitude exemplaire des otages fusillés qinze mois plus tôt à Chateaubriand, Nantes et au Mont Valérien ; elles nous disent le courage, la dignité, la force des résistants.
Dès le 29 janvier,sans attendre les recours, 9 des 37 condamnés à mort sont fusillés au champ de tir du Bêle, 25 autre le seront le 13 février dont Jean LOSQ et 3 le 7 mai. Les 2 femmes, Renée LOSQ et Marie MICHEL, sont renvoyées à un « complément d’enquête » mais en fait condamnées à la déportation.’’Au moment où des formations politiques proches de l’extrême droite sont au pouvoir ou en sont proches dans plusieurs pays d’Europe, il est très important de se souvenir…
Pour lire l’intégralité de la déclaration lue par Mme Badaud, cliquer ici
On peut aussi acheter la brochure « Renée et Jean LOSQ, mémoires de Résistance en pays nantais », réalisé par l’association lucéenne ’Au Bord du Fleuve’. Disponible à la librairie « Les Lucettes » à Sainte-Luce.
Pour écouter le poème d’Aragon chanté par Léo Ferré, cliquer ici.
titre documents joints :- info document (PDF - 430.8 ko)
-
Echos du Conseil Municipal de Ste-Luce du 24 janv. 2024
28 janvier 2024, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Séances du Conseil MunicipalMalgré un ordre du jour assez chargé, dont la présentation du Budget Primitif 2024, cette réunion du Conseil n’a pas été interminable. Mais les débats ont surtout porté sur des questions de forme ou de règlements, au lieu de porter sur les orientations et le fond politique. De ce fait ils ont certainement été peu passionnants.
Les points principaux qui ont été l’objet de discussions ont été, comme prévu, le Budget primitif 2024, mais aussi sur la propriété Auvigne.
En début de séance, le Maire, Anthony Descloziers a évoqué la disparition de Thierry Saurat, Directeur de la communication de la ville de Sainte-Luce sur Loire depuis 32 ans, et qui a été incinéré le matin même. Il a souligné les nombreux messages reçus par la Mairie à ce sujet. C’est en rapport aux qualités professionnelles et humaines que tout le monde lui reconnaissait.
Le Budget Primitif 2024 :
Michel Dacculsi détaille les caractéristiques de ce BP 2024. (pour plus de précisions sur ce BP, cliquer ici.
Le tableau ci-joint montre l’évolution depuis le Budget 2015 (réalisé), qui est le premier budget pleinement géré par l’ancienne équipe municipale.
Les dépense et recettes de fonctionnement ont une structure assez proche du BP 2023.
Il apparaît clairement que ce sont les impôts et taxes qui représentent la partie la plus dynamique, en masse, du budget municipal ; et non pas la rigueur comptable de l’équipe municipale précédente.
Soulignons à ce propos que l’équipe actuelle n’a pas augmenté les taux d’imposition et n’a pas recours à l’emprunt, ni en 2024, ni au cours des années précédentes.
Le budget d’investissements 2024 (de 5,6 Millions €) va permettre :remboursement du capital de la dette (0,84 M€)
Transition écologique : 1,68 M€ , poursuite des travaux pluriannuels pour la rénovation de l’Hôtel de ville (0,1 M€ en 2024), le groupe Scolaire Centre Ville (0,29 M€ en 2024), l’école de la Cerisaie (1 M€ en 2024), la gestion du chauffage, le relamping, l’amélioration des salles associatives, ...
Entretien du patrimoine : Etudes rénovation Château de Chassay (0,021M€) et du manoir de Bellevue (0,08 M€), rénovation clocher église (0,05 M€)
Amélioration des espaces publics : 1,155 M€ (parc Auvigne, mobilier urbain, mobilités douces, jardins familiaux, espaces verts et végétalisation, ...)
Équipements publics : 1,1 M€ (Ligéria, gendarmerie, CTM, logements d’urgence, …)
Modernisation de l’administration : 0,28 M€ (Véhicule électrique, informatique, …)
Cadre de vie : 0,39 M€ (sports, sécurité, ...)
Ce budget d’investissements sera alimenté par l’épargne réalisée en fonctionnement (1,65 M€), les subventions liés à ces investissements (non encore précisé), le FCTVA (0,6 M€), des transferts entre sections (0,8 M€) et à un prélèvement sur la réserve (fonds de roulement) de 2,5 M€ (que l’ancienne et l’actuelle majorité ont approvisionné). Soulignons que la santé des finances communales se caractérise par un endettement très faible (415€ par habitant, contre une moyenne nationale de 800€ pour les communes de mêmes taille), une capacité de désendettement de 2,39 années (seuil d’alerte à 10 ans) et une ’réserve’ de précaution estimée à 8 Millions€ fin 2024.Le parc Auvigne :
Le prix d’achat du parc est de 300 000€, auxquels il faut ajouter 300 000€ pour la construction du mur de séparation (estimation) et 350 000 pour les frais d’entretien et d’aménagement du parc lui même (étalés sur plusieurs années).
Comme lors de la précédente réunion publique du Conseil municipal, M. Brasselet reproche à la majorité de ne pas avoir également acheté les bâtiments.
En réponse, Anthony Descloziers et Catherine Corbes précisent que le prix total de vente était de 1,5 million€, auquel il aurait fallu ajouter le coût très important de réfection et de mise en accessibilité du pavillon. De plus, le patrimoine bâti de la municipalité est déjà très important et vieillissant : Nous devons faire face, comme cela a été évoqué dans le BP 2024, aux réparations et rénovations du Chateau de Chassay et du Manoir de Bellevue. Nous ne pouvons pas nous mettre sur le dos des charges supplémentaires importantes, alors que notre parc immobilier est globalement suffisant pour répondre aux besoins de services publics de nos concitoyens.Les autres points donnant lieu à débat :
Le budget annexe culture :
La minorité pose une question sur les recettes de vente des places pour les spectacles à Ligéria et la comparaison avec le coût des spectacles.
Devant la difficulté pour la majorité à apporter une réponse immédiate, M. Brasselet annonce que la minorité s’abstiendra sur les deux délibérations concernant la culture.Les Autorisations de programme (AP/CP) :
Ce dispositif est utilisé pour les investissements qui s’étalent sur plusieurs années : Une somme est votée pour l’ensemble (autorisation de programme = AP), et chaque année les dépenses effectuées sont incluses au budget (Crédit de paiement = CP). Le total des CP doit rester dans le total de l’Autorisation de programme (AP), sauf à prendre une nouvelle délibération sur le montant total de l’AP.
La minorité souligne que les chiffres de Crédits de Paiement (pour le groupe scolaire du centre, pour l’Hôtel de ville et pour l’école de la Cerisaie) proposés au vote ne correspondent pas à ceux qui ont été donnés en commission des finances.
Pour expliquer cette différence, la majorité explique que des factures attendues en 2023 ne sont pas encore parvenues. Il a donc été nécessaire de faire glisser leur montant sur l’année 2024. Mais les Autorisations de Programme restent inchangées.
La minorité annonce qu’elle s’abstiendra sur ces 3 délibérations.Application du taux d’effort :
En mars dernier, nous avons décidé d’appliquer aux activités enfance-jeunesse le mode de tarification au taux d’effort.
Nous proposons aujourd’hui d’étendre le même mode de calcul pour les activités autour du patio, à l’animation sportive et aux séjours.
Comme actuellement, les familles seront informées du tarif de chaque activité.
D’autre part, ces tarifs seront majorés de 30 % pour les non Lucéens, sauf l’adhésion au patio, afin d’intégrer plus facilement des jeunes qui viennent à Sainte-Luce de façon temporaire (ex. dans la famille).
Pour la minorité, Mme Prévost indique que lors du Conseil municipal, la minorité avait proposé une concertation sur l’application de ce taux d’effort. Cette proposition a été refusée par la majorité. En conséquence la minorité votera contre cette délibération.Autres informations :
Taux d’imposition :
Ils restent inchangés, comme les années précédentes. Cependant, le montant des impôts augmentera, puisque l’État a décidé d’augmenter les bases pour compenser l’inflation.
Pour autant, la municipalité ne fera aucun nouvel emprunt pour financer ses nouveaux investissements. En conséquence, le niveau d’endettement de la commune sera particulièrement faible.Renouvellement des Comités Consultatifs :
Un bilan a été fait du fonctionnement des Comités Consultatifs depuis leur création.
Plus de 40 participants ont répondu au questionnaire et les 2/3 souhaitent continuer à y participer. Un appel public à candidatures sera lancé pour compléter les Comités.
Il est demandé aux animateurs de ces Comités de repréciser les objectifs et méthodes de travail, de proposer un programme annuel de travail. Le rythme de réunions sera au moins de deux par an et la collectivité devra répondre aux propositions de ces Comités. En amont, un ordre du jour devra être proposé et un relevé d’échanges devra être rédigé et diffusé.
Les membres de ces Comités sont remerciés pour leur participation et leur engagement.
Deux nouveaux Comités vont être créés : le Comité Seniors et le Comité accessibilité (auparavant un seul Comité devait traiter ces deux sujets).Dispositif Argent de poche :
Ce dispositif, déjà opérationnel dans de nombreuses collectivités comme Thouaré-sur-Loire, Clisson ou Châteaubriant, consiste à proposer à des jeunes de 16 à 18 ans un « petit boulot » d’intérêt général et encadré, pendant l’été (peinture, espaces verts, archivage, …), qui ne doit pas excéder 20 jours à raison de 6 heures par jour (ou 10 jours hors vacances d’été).
Pour la ville de Sainte-Luce, il est proposé de prévoir 30 missions de 3 heures chacune, rémunéré 15 € par mission.Subvention aux associations :
Peu de changements par rapport aux années précédentes : le total s’élève à 822 729€ + 10 000€ de subventions exceptionnelles (pour 841 433€ l’an passé).Agenda participatif :
Nantes Métropole va mettre à disposition de Sainte-Luce un agenda partagé avec les autre communes de l’agglomération. Cela doit permettre de partager l’information sur les évènements communaux et de les mettre en commun facilement.
Cette mise en commun par Nantes Métropole est gratuite pour 2024.
titre documents joints :- info document (PDF - 2.3 Mo)
- info document (PDF - 2.3 Mo)
page précédente | 1 | ... | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ... | 335 | page suivante