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Réunion participative "Education : grandir à Ste Luce"
Jeudi 14 novembre 2019 à 20h30 Salle polyvalente, école Félix Tessier
10 novembre 2019, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Municipale2020Depuis plusieurs semaines, l’équipe "Ensemble pour Sainte-Luce" propose une démarche participative dont le but est de recueillir la parole des Lucéens pour construire notre projet. Après « la Loire, une richesse à valoriser », « Aménagement de la ville : imaginons Sainte Luce demain » et "Construisons ensemble la solidarité", l’équipe « Ensemble pour Sainte-Luce », a le plaisir de vous inviter à sa quatrième soirée :
Education : grandir à Ste Luce
Jeudi 14 novembre 2019 à 20h30
Salle polyvalente, école Félix Tessier,
49 rue Olympe de Gouges à Sainte-Luce-sur-LoireAvec Michelle Bureau, responsable associative Les Francas et Michel Daculsi, Président de la Fédération des Amicales Laïques de Loire-Atlantique (FAL 44 – Ligue de l’enseignement), nous ferons une description rapide des questions et problèmes liés à l’éducation et à la jeunesse à Sainte-Luce. Puis, nous dégagerons les principaux objectifs qui doivent guider la future politique municipale.
Nous serions heureux de pouvoir vous compter parmi nous et de recueillir votre regard et votre éclairage.Il y a 0 message(s) de forum -
Municipale à Nantes :
Inauguration du local de ‘Nantes Ensemble’
6 novembre 2019, par Patrick Cotrel - #Nantes Métropole - #Municipale2020Il y avait foule, ce lundi soir 5 novembre, au 27 rue de Strasbourg à Nantes.
Malgré les annonces médiatiques deslistes concurrentes, la mobilisation de terrain poursuit sa progression autour du projet de la liste écologiste et citoyenne ‘Nantes Ensemble’.
Une liste qui veut accompagner la décarbonisation et la transition écologique de la ville par la priorité aux transports en commun et la circulation des vélos, le renforcement de la nature en ville, le zéro gaspillage,...
Une liste qui se veut décentralisatrice, et des groupes de quartiers organisent la mobilisation et le recensement des problèmes vécus par les habitants et des initiative associatives et culturelles en gestation...
Une liste pour une ville humaniste et solidaire pour toutes et tous dans les domaines du travail, de l’école, pour ne laisser personne au bord de la route.
Pour plus de précisions sur la campagne, cliquer ici : https://nantes-ensemble.frSoutenu par EELV.
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Réunion participative lundi 4 Novembre 20h30
4 novembre 2019, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Municipale2020La liste "Ensemble pour Sainte-Luce" menée par Anthony Descloziers souhaite recueillir l’avis des lucéennes et des Lucéens en vue d’élaborer son programme et faire autrement et mieux pour Sainte-Luce.
Pour cela vous êtes invité.e.s à participer activement aux rencontres citoyennes qui sont organisées du 8 octobre au 27 novembre 2019 (Pour consultez l’agenda des rencontres, cliquer ici.
Venez échanger, débattre et apporter vos idées pour construire un programme qui répondre à vos souhaits et vos besoins.Le 4 novembre à 20h30, salle Dagorne,
Les solidarités à Sainte-LuceAvec Dominique Le Berre, adjointe au Maire de La-Chapelle-sur-Erdre en charge de la solidarité et de l’action sociale.
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La FNSEA veut faire taire les militants anti-pesticides
1er novembre 2019, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement DurableLe 6 novembre, la fédération départementale de la Somme de la FNSEA attaque EELV au Tribunal de Grande Instance d’Amiens.
Son crime ? Avoir, selon ces soutiens des pesticides de synthèse, “pollué la démocratie” (sic) en incitant les écologistes à participer massivement à la consultation lancée par le gouvernement pour réguler l’épandage des pesticides de synthèse.
La FDSEA de la Somme réclame à EELV des milliers d’euros ainsi que les coordonnées des 15 000 personnes ayant participé à la mobilisation (pour les transmettre à Monsanto ?).
Clairement, les pro-pesticides sont prêt-es à tous les coups bas pour fragiliser EELV et réduire au silence les voix qui s’élèvent contre le business toxique de Monsanto-Bayer et des autres.
On peut être confiant-es sur l’issue du procès, mais le seul fait de devoir se défendre en justice mobilise les maigres ressources que EELV veut plutôt consacrer à l’appui aux candidat-es écologistes partout sur le terrain.Face à cette poursuite-bâillon, répondons par la solidarité et réaffirmons le droit pour les écologistes de mobiliser largement dans le cadre d’une démocratie en continu :
apporter une aide financière à EELV en cliquant ici.
pour celles et ceux qui le peuvent, rendez-vous à Amiens le 6 novembre à 9h devant le Tribunal de Grande Instance. Pour en savoir plus, cliquer ici
Ils veulent nous faire taire, faisons du bruit.
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L’agriculture industrielle en crise
25 octobre 2019, par Patrick Cotrel - #Conseil régional - #Energies - Climat - #Développement DurableLe mouvement « Nous voulons des coquelicots », qui mobilise la population pour l’arrêt de l’utilisation des pesticides de synthèse (=chimiques) par l’agriculture, secoue le monde agricole. Selon les sondages, plus de 95 % des françaises et français approuvent cette revendication ! Du coup, la FNSEA (syndicat agricole dominant) multiplie les manifestation d’agriculteurs contre « l’agribashing ».
C’est cette crise dont l’émission ‘Envoyé spécial’, sur France 2 jeudi soir, a tenté de rendre compte.
Un système de production dans l’impasse :
Oui, il faut le dire, l’agriculture est à l’origine de 19 % des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) ; moins que les transports (31%), mais autant que l’habitat et les bureaux et plus que les industries manufacturières.
Il faut ajouter que depuis 1989, 33 % des oiseaux des milieux agricole ont disparu ; plus que dans les milieux bâtis (-30%), et beaucoup plus que les milieux forestiers.
D’un autre côté, un grand nombre d’agriculteurs est coincé entre une mécanisation poussée (et donc les dettes), avec l’utilisation de pesticides et de ‘fertilisants’ coûteux, et des revenus faibles ou très faibles. En même temps, bon nombre d’agriculteurs ont eu de graves problèmes de santé dus à l’emploi des pesticides, avec une omerta imposée par le système dominant de l’agrobusiness. Et c’est bien cette contradiction fondamentale qui explique la vague de suicides d’agriculteurs depuis plusieurs années.
C’est cette crise fondamentale que la mobilisation contre les pesticides de synthèse vient exacerber.
Des prises de positions :
C’est dans ce contexte que Christelle Morançais (Présidente du Conseil régional des Pays de la Loire) vient d’écrire un ‘Point de vue’ dans Ouest France du 24 octobre 2019, intitulé « Stop à l’agribashing », dans lequel elle défend implicitement le système d’agriculture industrielle actuellement dominant en affirmant que les agriculteurs sont victimes « d’un modèle qui impose le pire des choix : être bio et perdre de l’argent, ou être rentable et être détesté. ».
Pour lire ce « Point de vue », cliquer ici
En réaction, le Groupe écologiste et citoyen du Conseil régional des Pays de la Loire écrit : « Ceux qui souffrent aujourd’hui, ce sont ceux qui se sont endettés pour répondre à la spirale infernale du productivisme et auxquels on a fait miroiter des mirages de prix et de retour sur investissement. A défaut de perspectives d’avenir dans un système destructeur est né ce sentiment d’abandon qu’expriment aujourd’hui de nombreux agriculteurs. Il y a une urgence agricole à les accompagner pour éviter la fracture rurale, au lieu d’attiser les oppositions comme le fait Christelle Morançais.
Exiger du Gouvernement et à l’Europe d’assurer une juste rémunération des agriculteurs pour leur travail, c’est très bien mais qu’elle commence par arrêter de verser des dizaines de millions d’euros d’argent public à l’industrie agro-alimentaire sans engagement en retour. En réalité, elle soutient le système qu’elle dénonce. Nous lui demandons aussi à chaque réunion plénière du Conseil régional de s’engager pour soutenir l’émergence et le renforcement des dynamiques de transition avec la mise en œuvre de plans alimentaires territoriaux sur tout le territoire, de mettre l’accent sur l’autonomie et la relocalisation de notre agriculture. A quand des contrats de terroir sous l’impulsion de la Région ? »
Pour lire l’intervention complète, cliquer ici.
Sortir de l’impasse de ce mode de produire :
Bien entendu, la responsabilité de l’Etat (et des Régions) doit être soulignée : on ne peut pas interdire certaines pratiques agricoles en France et accepter des importations de produits qui les utilisent. Ajoutons qu’il faut aussi interdire l’importation de tourteaux de soja OGM cultivés sur des surfaces détruites de forêt primaire au Brésil, même si elles sont largement utilisés par des élevages bovins français productivistes…
Et puis, comment comprendre que l’utilisation des pesticides de synthèse est aujourd’hui interdite en zone urbaine (par les services publics et par les particuliers), mais est autorisée en zone rurale, y compris à proximité immédiate des habitations et des écoles ?
Disons-le clairement, les crispations actuelles ne pourront être dépassées si la majorité des agriculteurs ne reconnaît pas les causes profondes de la crise, et donc la nécessité de changer complètement ce système de production dont l’agrobusiness tire les ficelles (et les profits).
Si ce blocage est dépassé, si la majorité des agriculteurs reconnaît que les françaises et français ne veulent plus de ce type de produits, alors les voies d’une transition ne seront pas très difficiles à trouver.
titre documents joints :- info document (PDF - 651.6 ko)
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