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Université de rentrée du PS du Maine et Loire
27 octobre 2006, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Format. Profession.A la demande du Secrétaire fédéral du PS 49, j’ai participé à leur Université de rentrée à Trélazé le samedi 28 octobre 2006.
Mon intervention s’inscrivait dans l’atelier N°1 : "Emploi et Sécurité des parcours professionnels"
Dans un premier temps, j’ai donné quelques indications sur les chiffres du chômage (voir article par ailleurs). Dans une seconde partie, je suis intervenu sur les objectifs de la Région en matière de formation Professionnelle continue :
* Faire que chaque ligérien puisse accéder à un premier niveau de qualification (gratuité des formations de niveau CAP BEP, gratuité des manuels scolaires, aide à l’achat du premier outillage pour les lycéens et apprentis, …)
* Introduire la sensibilisation à la citoyenneté et au développement durable dans les formations initiales (apprentissage) et continues
* Pour aller dans le sens de la formation tout au long de la vie, favoriser la possibilité de continuité des parcours de formation (quelque soit le statu : jeune en formation, chômeur, salarié, …) par la modularisation progressive des formations financées par la Région (objectif 60% dans un an) et par l’ouverture d’un dialogue avec les partenaires sociaux pour mixer les publics (demandeurs d’emploi et salariés) dans les formations régionales, …P.S. (=Post Scriptum …) : Les invités du Parti socialiste (P.S.) à cette Université ont reçu en cadeau une remarquable bande dessinée : « Les mauvaises gens » de Etienne Davodeau. Ce livre retrace très bien le parcours de ces militants de gauche des Mauges (et de beaucoup d’autres régions)…émouvant !
A la page 179, Davodeau écrit : ‘’ Des années de lutte. Encore des courriers. Encore des manifs. Encore des réunions.
En 1985, à Beaupréau, au centre des mauges, ils (ces militants) poseront la « première pierre symbolique » de ce lycée public des Mauges rurales.
La deuxième ne viendra jamais. ‘’
Et bien si ! La nouvelle majorité régionale va le construire, ce lycée public des Mauges rurales !Il y a 0 message(s) de forum -
Un ‘Chrono Bus’ à Sainte-Luce ?
26 octobre 2006, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #DéplacementsLe 23 octobre, nous avons organisé à Sainte-Luce une réunion publique sur les transports, avec la participation de François de Rugy (Vice Président de Nantes Métropole chargé des transports de l’agglo.) et de Jean-Claude Antonini (Maire d’Angers et Vice Président du Conseil Régional, Chargé des transports = principalement des Trains Express Régionaux). Pascal Isidore et Joseph Bonnet ont animé les débats, et Bernard Aunette et moi-même avons conclu la réunion.
Pour ma part, j’ai abordé de façon concrète et pragmatique les conditions nécessaires à la mise en place d’un ‘chrono-bus’ (cadencé et avec un temps de trajet régulier) entre Thouaré, sainte luce et la ligne 1 du tramway (Souillarderie ou Brd de doulon).
Le même jour, Ouest France rendait compte d’une intervention nous mettant en cause nommément, François de Rugy et moi, à propos du chrono-bus.
Vous trouverez ci joints l’article paru dans Ouest France qui rend compte de l’intervention de M Brasselet, ainsi que notre réponse ci dessous.François de Rugy
Patrick Cotrel
COMMUNIQUE DE PRESSE
le 25 octobre 2006
Suite à l’article paru dans vos colonnes le 24 octobre à la rubrique Sainte-Luce qui rend compte des déclarations de M. Brasselet, nous tenons à apporter les précisions suivantes.
Tout d’abord, M. Brasselet se plaint de ne pas avoir été reçu par François de Rugy, Vice président de Nantes métropole en charge du plan de déplacements urbain. Mais encore faut il, pour cela, en faire la demande autrement que par des déclarations publiques ou dans les journaux. S’il vient de solliciter, comme il le dit, un rendez vous par courrier, nul doute que François de Rugy le recevra.
Pour ce qui concerne l’amélioration des transports en commun pour les habitants de Sainte-Luce et Thouaré, c’est sans doute par la mise en place d’un ‘chrono-bus’ reliant ces deux communes à la ligne 1 du tramway (par exemple à la Souillarderie) qu’on pourra avancer le plus rapidement.Encore faut-il que chaque collectivité prenne ses responsabilités et fasse avancer ce qui dépend d’elle. Par exemple :
à Nantes Métropole d’aménager des rond points aux carrefours du Perray et de La Gicquelière, avec une approche prioritaire en voie séparée pour les bus (comme rue Paul Bellamy)
aux communes de Sainte-Luce et de Thouaré de prévoir les aménagements de l’espace en centre ville, dans le cadre du Plan Local d’Urbanisme, pour permettre à ce chrono-bus de ne pas être pris dans les embouteillages.
On peut remarquer qu’à Sainte-Luce, un groupe de travail a fonctionné en début d’année de façon intéressante pendant plusieurs mois sur l’aménagement du centre ville, en incluant cette question de la traversée d’un transport en commun rapide. Ce groupe de travail était composé d’Elus (majorité et opposition, dont Patrick Cotrel), de techniciens de la commune, de Nantes Métropole, de la TAN et d’un cabinet spécialisé en aménagement de l’espace.
Malheureusement, M. Brasselet a balayé les pistes de solutions qui émergeaient de ce travail.
Si on veut faire avancer des améliorations pour la population, on ne peut pas poser comme principe que tout ce qu’on a fait est parfait, qu’il ne faut rien changer, et que tout ce qui ne va pas est de la faute des autres.
Nous attendons donc du Maire de Sainte-Luce une attitude plus constructive.
Patrick Cotrel
Vice Président du Conseil Régional
Chargé de l’Apprentissage,
de la Formation Professionnelle et
des politiques l’EmploiFrançois de Rugy
Vice Président de Nantes Métropole
Chargé du Plan de Déplacements Urbains
titre documents joints :- info document (PDF - 92 ko)
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Régionalisation de l’AFPA :
Vers un Service Public Régional de Formation Professionnelle Continue
Extrait de l’intervention de Patrick Cotrel lors de la session plénière du 20 octobre 2006
26 octobre 2006, par Patrick Cotrel - #Conseil régional - #Format. Profession.A partir de janvier 2009, la commande publique des formations qualifiantes de l’AFPA sera régionalisée. Mais dès janvier 2007, le processus de transfert va commencer.
En Pays de la Loire, l’AFPA représente plus de 130 formations différentes dans 8 centres de formation, 14 000 stagiaires par an (dont 8 à 9 000 concernés directement par la décentralisation), 8 restaurant servant 510 000 repas, 1 256 lits pour 351 000 nuités.Enfin, je souhaite souligner l’importance de la signature de la convention tripartite visant la décentralisation des actions qualifiantes de l’AFPA
à compter du 1er janvier 2007 ; La convention décrit les modalités selon lesquelles, non seulement l’AFPA participe au service public régional de formation, mais contribue, grâce à ses spécificités, à le renforcer dans ses différentes composantes.
L’apport de l’AFPA va être important, par exemple par le renforcement de l’égalité d’accès à la formation, la construction de parcours individualisés, la sécurisation des parcours grâce à la certification.Avec le transfert de l’AFPA, la Région va devenir le plus gros financeur en formation professionnelle continue, après les entreprises. C’est l’occasion pour la Région des Pays de la Loire de se positionner comme pilote et animateur d’un service public régional de la formation professionnelle continue. Parmi les financeurs de la formation professionnelle, la Région est en effet aujourd’hui la seule à réellement représenter l’intérêt général : les entreprises défendent leur intérêt particulier en matière de formation, et c’est logique ; l’ASSEDIC intervient uniquement sur la formation professionnelle la plus courte possible des chômeurs indemnisés, de façon à réduire la période d’indemnisation, …C’est donc bien à la Région qu’il revient d’assumer ce rôle d’animation, de garantie qualité et d’adaptation aux besoins de l’offre de formation régionale.
Le service public n’est pas ici une question de statut des organismes : nous parlons ici de missions de service public auxquelles l’ensemble des réseaux de formation ; d’accueil, d’information et d’orientation partenaires de la Région travaille contribue.
Les verts ne peuvent que soutenir une telle vision.Le service public se fonde d’abord sur des principes et des valeurs. Ce sont l’égalité, la continuité et la diversité d’accès à la formation, la continuité des parcours de formation, l’ouverture à l’ensemble des publics et d’adaptation aux besoins de chacun à travers l’individualisation qui sont déterminants. A cela s’ajoute un éveil à la citoyenneté et au Développement Durable, puisqu’une période de formation initiale, mais aussi continue, est un moment privilégier pour réfléchir à son rôle de citoyen et de futur producteur dans la société.
Co-construire en contractualisant telle est la logique que nous suivons, puisque nous allons négocier des conventions avec les autres fédérations d’organismes de formation, en parallèle de la convention tripartite. Ces conventions seront la suite du travail déjà largement engagé par les conventions qualité et par la modularisation des formations que nous avons travaillé avec l’ensemble des fédérations d’organismes de formation.
Il est important de souligner que nous sommes en train d’élaborer le Schéma Régional Education et Formation, et en même temps de le mettre en pratique. Par exemple, nous cherchons à ouvrir nos formations modularisées au public des salariés, et plus particulièrement les moins formés qui sont les plus fragiles en cas de problème économique. Dans cette optique, nous avons entamé un travail commun avec les partenaires sociaux et les OPCA (organismes paritaires de collecte de la taxe d’apprentissage) pour permettre aux salariés de profiter de notre offre de formation en utilisant de DIF (droit individuel à la formation) et les parcours de professionnalisation.
Les verts se félicitent de l’accueil politique de tous les acteurs concernés (fédérations d’organismes de formation professionnelle continue ; AFPA…). Nous soulignerons l’avis du CESR rendu lundi dernier, 16 octobre. Le CESR « approuve les grands axes de cette convention, qui s’attache à construire un véritable service public régional de formation continue, appuyé sur toutes les forces vives de la formation dans la région, ouvert à tous, salariés comme demandeurs d’emploi. »
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L’augmentation du nombre des Apprentis
Extrait de l’intervention de Patrick Cotrel lors de la session du 20/10/06
25 octobre 2006, par Patrick Cotrel - #Conseil régional - #ApprentissageSuite à la campagne de publicité du gouvernement sur l’apprentissage, la demande d’apprentissage augmente fortement. Dans notre Région, qui est la première pour le nombre d’Apprentis, cela met en péril l’amélioration de la qualité de l’apprentissage que nous recherchons et cela pèse sur les finances régionales. Face à cette situation, l’Etat, l’Education Nationale (qui gère les Lycées Professionnels) et les branches professionnelles (qui peuvent créer des contrats de professionnalisation) doivent prendre leurs responsabilités.
Vous le savez, nous avons signé avec l’Etat un ‘Contrat d’Objectifs et de Moyens’ qui insistait sur l’amélioration de la qualité de l’apprentissage et prévoyait une augmentation modérée du nombre des Apprentis : passage de 28 à 30 000 à l’horizon de 5 ans. Mais vous le savez aussi, l’Etat a pompé dans la poche des entreprises en augmentant la taxe d’apprentissage de façon à faire une grande campagne pour l’apprentissage. Cela s’est traduit par une forte augmentation de la demande d’apprentissage que vous évoquez : en deux ans, l’augmentation de 2000 apprentis a été atteinte, avec les conséquences financières pour la Région (+10 M€ au budget). Il y a là une situation d’alerte.
Nous ne voulons pas, comme c’est le cas dans certaines Région, vider les Lycées professionnels pour remplir les Centres de Formation d’Apprentis, ce qui correspond à un transfert de charges entre l’Etat et la Région sans transfert de moyens. Au contraire, nous voulons maintenir un équilibre entre ces deux voies de formation professionnelle initiale, car elles répondent aux besoins de profils différents de jeunes.
Face à cette situation, chaque acteur doit prendre ses responsabilités. L’Education nationale doit ouvrir les sections de lycées professionnels qui font défaut pour permettre le choix des jeunes et des familles. Certaines branches professionnelles doivent prendre les moyens pour accueillir correctement les jeunes apprentis et éviter les trop nombreuses ruptures de contrats d’apprentissage et les fuites des salariés formés vers d’autres métiers. De plus, les branches professionnelles ont à leur disposition les contrats de professionnalisation (qui est un système proche de l’apprentissage, mais s’adresse aux jeunes ET adultes) dont le nombre n’est pas encore à la hauteur des anciens contrats de qualification.
Enfin, bien entendu, nous ferons tout notre possible pour qu’aucun jeune ne soit laissé sans solution. -
Conseil Municipal du 9 octobre 2006
13 octobre 2006, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Séances du Conseil MunicipalCe Conseil Municipal spécialement consacré au Plan Local d’Urbanisme ne comportait pas de vote. C’était une simple information sur l’état actuel du PLU qui sera voté par Nantes Métropole en octobre 2006, puis soumis à enquête publique au premier semestre 2007. Bonne lecture !
(voir fichier pdf joint)
titre documents joints :- info document (PDF - 131.8 ko)
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