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			A propos de la crise du logement17 décembre 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Energies - Climat - #Développement DurableLe trimestriel « L’économie politique » a consacré son N°du dernier trimestre 2024 à la crise actuelle du logement en France (et en Europe, même si cette crise en France a des particularités spécifiques). 
 L’article ci dessous lui doit beaucoup, notamment les articles de Jean-Claude Driant et de Vincent Legrand et Léana Msika.La crise actuelle du logement en FranceDe plus en plus de personnes voient leur situation sociale aggravée par la difficulté à obtenir un logement décent, qu’ils aient ou pas un travail ! 
 Le principe pour favoriser l’insertion sociale de « Un logement d’abord » est aujourd’hui très difficile à réaliser.
  
 Pourquoi cette crise et quelles sont les pistes pour en sortir ?A l‘évidence, la crise actuelle résulte des effet d’une très longue période d’augmentation du prix des logements, comme le montre le graphique ci-contre. Autre exemple : les ‘frais de mutation’ payés lors de la vente des logements (et proportionnels à leur valeur) est passé de 4 Milliards € en 2000 à 17 Milliards € en 2023 ! Conséquence : l’accès à la propriété de leur logement est devenu impossible pour de plus en plus de ménages modestes (mensualité trop forte, refus des banques, …), alors que les propriétaires se sont très largement enrichis. Cela entraîne un blocage du parcours résidentiel qui permettait la libération de logement sociaux pour de nouveaux arrivants. Ainsi, en île de France, le parc des logements sociaux a augmenté de 12 % entre 2015 et 2023, mais le nombre le logements attribué a baissé de 16 % ! De plus, les prix se sont amplement différenciés depuis 1998 entre les grandes métropoles et les autres : en 2008, alors que le prix au m² était de 500 € à St Etienne ou à Nevers, il atteignait 4 000€ au m² à Paris. Alors que les taux d’intérêts sur les prêts sont resté assez stables. De plus, dans les régions touristiques, les locations meublées de courtes durées (de type RBandB) ont pris une place non négligeable, en concurrence avec les baux classiques, dont les exigences (qualité du bâti, durée garantie du bail, .…) peuvent être facilement contournées. Ajoutons que la réglementation sur les « passoires thermiques » a tendance à réduire l’offre de logements, même si cette mesure n’est pas contestable. Enfin, de plus en plus d’opérations immobilières sont aujourd’hui mixtes : les promoteurs construisent des immeubles comportant des logement sociaux (par ex. 33 % à Sainte-Luce) et des logements « à prix libres ». S’il n’y a pas assez d’acquéreurs pour les logements « libres », les promoteurs renoncent à engager la construction, y compris pour les logements sociaux ! Ainsi, 85 000 logements sociaux ont été agréés en 2023 ; contre 100 000 par an entre 2008 et 2019. Le ‘modèle français’ mis en échec : 
 La politique du logement en France ont longtemps gardé un cap unique en Europe depuis 1980 et sans interruption, consistant à promouvoir conjointement les développement du parc locatif social, de l’accession à la propriété et de l’offre privée.
 Depuis les années 2000, la notion de « logement abordable » et venus compléter la palette de l’offre dans une logique de réaction à la hausse des prix et des loyers.
 Mais l‘évolution des prix depuis le début des années 2000 a progressivement fragilisé cet équilibre.
 Lors de la crise financière de 2008, l’injection massive de l’argent public, par l’intermédiaire de l’ouverture des prêts à taux zéro à tous les ménages et toutes les acquisitions ; et la mise en place du dispositif Scellier très favorable à l’investissement locatif des particuliers dans le neuf, a permis d’éviter à la France la grave crise immobilière qui touchait les USA, le Royaume-Uni ou l’Espagne.
 Par contre, lors de la crise de 2022, après la période du « quoi qu’il en coûte », le Président Macron a estimé à propos du logement : « on a créé un système de surdépenses publiques pour de l’inefficacité collective ». Cette approche libérale repose sur la conviction qu’une reprise de la construction neuve suffirait à générer une offre abordable, voire une baisse des prix et des loyers de l’ensemble du parc.
 C’est l’inverse qui a eu lieu...
 Pire, même, dès 2017, le gouvernement Borne-Macron a augmenté le TVA sur la production de logement sociaux (passage de 5,5% à 10%) et effectué une ponction de 1,3 Milliards€ sur le chiffre d’affaire des organismes HLM. Par la suite, le gouvernement Attal-Macron a permis de comptabiliser les Logement Locatifs Intermédiaires destinés aux classes moyennes supérieures dans le quota de 20% ou 25% de logements sociaux, alors que 2,6 millions de ménages sont en attente d’un logement HLM et que des efforts importants doivent être fait en matière de rénovation énergétique et urbaines et d’accueil de personnes sans domicile. De plus, il a été autorisé d’augmenter les loyers des logements très sociaux anciens au niveau des logements HLM neufs, ce qui les interdit pour les familles les plus pauvres. Enfin, cerise sur le gâteau, en 2023 la loi Kasbarian permet de condamner à 2 ans de prison les personnes SDF qui squattent un bâtiment, même désaffecté...Le Conseil National de la Refondation consacré au logement, créé fin 2022 par le Président de la République, a rendu ses conclusions quasiment consensuelles en juin 2023 :  rendre aux organismes de logement social de développer leur offre, tout en rénovant massivement leur patrimoine ; rendre aux organismes de logement social de développer leur offre, tout en rénovant massivement leur patrimoine ; lutter, par des moyens réglementaires et fiscaux, contre la spéculation foncière ; lutter, par des moyens réglementaires et fiscaux, contre la spéculation foncière ; rendre de l’attractivité à l’investissement locatif abordable ; rendre de l’attractivité à l’investissement locatif abordable ; développer une accession sociale à la propriété ; développer une accession sociale à la propriété ; tout en accélérant la rénovation et la récupération du parc existant. tout en accélérant la rénovation et la récupération du parc existant.
 Mais ce vaste chantier n’a pas été ouvert… La crise du logement ne vient pas de nulle part...La bataille pour la rénovation performante des logements :Le secteur du bâtiment (résidentiel et tertiaire) représente 46 % de la consommation énergétique et environ 26 % des émissions territoriales de Gaz à Effet de Serre. 
 Le parc résidentiel représente à lui seul 30 % de la consommation énergétique française.
 Et c’est le chauffage qui pèse le plus lourds : 66 %. Et il reste alimenté majoritairement par des sources d’origine fossile : gaz pour 41 %, pétrole pour 13 %, électricité pour 37 %.
 Cela indique donc l’importance du logement comme enjeux pour la lutte pour la transition écologique et la diminution du dégagement des Gaz à Effet de Serre.La rénovation performante : 
 Réviser les règles de construction des logements neufs est utile, mais est loin d’être suffisante pour faire face au défit de la crise climatique. Il faut absolument rénover les logements ancien. Mais pas n’importe comment.
 Si le logement n’est pas bien isolé, alors le changement du mode de chauffage a un impact très limité.
 D’autre part, il ne faut pas considérer le logement comme un vase clos : l’humidité peut provoquer des pathologie importantes pour les habitants. Il faut donc prévoir un renouvellement de l’air, si possible avec échange thermique entre les flux entrant et sortant : le flux entrant récupère les calories du flux sortant (« double flux ») .La rénovation performante doit impérativement prendre en compte ces différent aspects. 
 Sinon, on passe à côté de l’objectif ; par exemple en accordant des aides aux rénovations qui ne satisfont pas à ces conditions. C’est ainsi que des aides sont accordées pour des changements de mode de chauffage (sans examiner l’isolation du logement).
 Cela a aussi l’avantage de créer de nombreux emplois dans le bâtiment (plus de 200 000, selon d’ADEME).
 Autre dispositif qui pourrait être mis en place : la mise en place de sociétés de Tiers-investissement, qui prendraient en charge l’investissement pour le compte du ménage, qui n’aurait qu’une redevance mensuelle à payer, fondée sur les économies d’énergie générés. Les Ménages seraient complètement déchargés du montage. Cette société devait alors vérifier la qualité des travaux effectués et aurait un accès plus facile à des prêts à long terme.Il y a 0 message(s) de forum
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			L’entêtement d’Emmanuel Macron5 décembre 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des joursPourquoi cette crise politique ? 
 Vexé par le résultat du RN aux élections européennes,l Président Macron a décidé, seul, de dissoudre l’Assemblée nationale et de provoquer des élections anticipées.
 Pendant la campagne, deux camps se sont affirmés : Le RN d’un côté, Le RN d’un côté, Un large Front Républicain concernant la gauche, les macronistes et centristes, et la droite (avec pas mal de réticences), permettant des désistement au second tour pour le/la candidat.e républicain.e  le/la mieux placée au premier tour. Un large Front Républicain concernant la gauche, les macronistes et centristes, et la droite (avec pas mal de réticences), permettant des désistement au second tour pour le/la candidat.e républicain.e  le/la mieux placée au premier tour.
 Ce front républicain a, à peu près, bien fonctionné, empêchant très clairement une majorité RN à l ‘Assemblée nationale.
 La logique du résultat, c’est de choisir un.e premier.e ministre dans le Front Républicain, et tout particulièrement dans la force la plus importante de ce Front ; c’est à dire, sans conteste, au sein du Nouveau Front de Gauche. Et Lucie Castets avait bien l’intention de négocier son contrat de gouvernement avec TOUS les partis ayant participé au Front Républicain.
 Mais visiblement, Emmanuel Macron n’aime pas la Gauche. Il oublie que pas mal de député macroniste, centristes ou de droite ont été élus avec des voix des électeurs de gauche. En oubliant cela, Macron ne les a pas respectés.
 Pourtant, l’histoire est là : Lorsque ses partisans se sont retrouvés minoritaires suite aux élections législatives, le Président Chirac a nommé un premier ministre de gauche (L. Jospin) ; Lorsque ses partisans se sont retrouvés minoritaires suite aux élections législatives, le Président Chirac a nommé un premier ministre de gauche (L. Jospin) ; Lorsque ses partisans se sont retrouvés minoritaires suite aux élections législatives, le Président Mitterand a nommé un premier ministre de droite (E. Baladur). Lorsque ses partisans se sont retrouvés minoritaires suite aux élections législatives, le Président Mitterand a nommé un premier ministre de droite (E. Baladur).Ce refus de E.Macron est entièrement contraire à la tradition républicaine. C’est une nouvelle façon de refuser le résultat de l’élection. De plus, E.Macron a nommé M. Barnier avec l’assentiment du RN. Et le même Barnier a négocié avec le RN des modifications de ses propositions loi. C’est donc le RN qui est l’allié privilégier et la Gauche qui est considéré comme l‘ennemi principal… 
 Il est clair que c’est Emmanuel Macron qui est responsable du blocage politique actuel (et secondairement Michel Barnier), ainsi que du déficit très important de l’Etat. C’est pourtant aux retraités, aux travailleurs âgés, aux assurés sociaux et aux plus pauvres que Macron veut faire payer l’addition...Comment sortir de cette situation grave ? 
 Plusieurs dirigeant des partis composant le Nouveau Front Populaire tentent, dès à présent, de préparer la sortie du blocage actuel.
 On pourra lire, à ce sujet, le courrier envoyé par Marine Tondelier (Les écologistes) aux chef-fes des partis du Front Républicain, en cliquant ici.
 titre documents joints :- info document (PDF - 207.8 ko)
 
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			Echos du Conseil Municipal du 27 nov. 20241er décembre 2024, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Séances du Conseil MunicipalCe Conseil n’a enregistré qu’un seul débat avec la minorité, portant sur le parc Auvigne. 
 Cependant, plusieurs point important ont été évoqués et soumis au Conseil municipal, même s’ils n’ont pas été contestés par la minorité.Les questions importantes abordées :1/ Congrès national des Maires : 
 De retour de son voyage, Anthony Descloziers évoque la grande morosité des Maires qui s’est exprimée lors de cette réunion, concernant la situation économique désastreuse (avec des réductions d’effectifs dans les entreprises qui se multiplient) : l’État veut faire subir aux collectivités territoriales des restrictions, officiellement de l’ordre de 5 milliards€. Mais l’Association des Maires de France les estiment à 10 milliards€. Les restrictions qui vont peser sur les collectivités locales prendront la forme de réduction du remboursement de la TVA, sur l’augmentation des cotisation patronales sur les salaires, etc...
 Il faut rappeler que les collectivités locales se voient attribuer de plus en plus de services auprès du public, qu’elles sont à l’origine de 70 % des investissements publics et que leurs budgets doivent être à l’équilibre chaque année (contrairement à l’État).
 Les restrictions des investissement peuvent avoir des conséquences sur l’activité économique, au moment où les plans sociaux semblent se multiplier…Anthony Descloziers évoque aussi la situation de la Région ; 
 Il faut aussi parler des annonces budgétaires de Christelle Morençais (Présidente –de droite- du Conseil régional des Pays de la Loire).
 L’État lui demande de réduire ses dépenses de 40 millions€. Mais elle a annoncé vouloir réaliser 100 millions€ d’économies !
 Conséquences : suppression des subventions aux associations de solidarité avec les femmes (planning familial, CIDFF, Solidarité femmes, …) ; suppression des subventions aux associations de solidarité avec les femmes (planning familial, CIDFF, Solidarité femmes, …) ; suppression des subventions aux Missions Locales qui visent la réinsertion sociale et professionnelle des jeunes sans emploi ni qualification. Pour Nantes Métropole, cela représente un trou de 470 000 € ! suppression des subventions aux Missions Locales qui visent la réinsertion sociale et professionnelle des jeunes sans emploi ni qualification. Pour Nantes Métropole, cela représente un trou de 470 000 € ! Suppression de 75 % des subventions dans les domaines du sport et de la culture ! Alors que le domaine de la culture est traditionnellement un domaine partagé entre toutes les collectivités locales. Exemples : L’ONPL est subventionné principalement par la Région. Les Folles Journées dépendent pour une part non négligeable des subventions Région…et toutes ces manifestations participent à la cohésion sociale... Suppression de 75 % des subventions dans les domaines du sport et de la culture ! Alors que le domaine de la culture est traditionnellement un domaine partagé entre toutes les collectivités locales. Exemples : L’ONPL est subventionné principalement par la Région. Les Folles Journées dépendent pour une part non négligeable des subventions Région…et toutes ces manifestations participent à la cohésion sociale...A Sainte-Luce, autant que nous le pourrons, nous subventionnerons la fête de la musique, Ligéria, la lutte contre le réchauffement climatique, l’accompagnement des plus fragiles (présence du CCAS dans les quartiers, plan d’actions Seniors, …)… 2/ Le parc Auvigne : 
 Catherine Corbes fait un point d’étape sur ce projet. Ce nouvel espace de 2,5 hectares situé en plein centre-ville permettra de fournir un vaste ilôt de fraicheur et de détente aux lucéens. Son ouverture au public est prévue à l’été 2025.
 Après l’achat du terrain pour 300 000 €, il fallait élaborer un véritable projet d’aménagement en croisant les regards du Conservatoire des espaces naturels, d’un Comité de pilotages composé d’élu.e.s (majorité et opposition), d’associations lucéennes (les Pieds Rieurs, Clémentine, Au bord du Fleuve) et du Conseil de quartier du Centre.
 Les négociations avec l’ancien propriétaire ont révélé la nécessité de reconstruire le mur d’enceinte pour séparer le parc de la propriété bâtie (288 000 €). Les aménagements, les mobiliers (chemins accessibles dont certains PMR, ...) et les jeux pour enfants sont estimés à 385 000 €, et la maitrise d’oeuvre est estimée à 56 000 €. Soit un total d’un peu plus de 1 million €.
 M. Frogger, pour l’opposition, dénonce une "nouvelle gabgie" et une opération de communication : vous annoncez une achat de 300 000 €, et pour finir, on arrive à un montant de 1 million €.
 Anthony Descloziers et la majorité répondent que dès le départ, il a été dit clairement que divers aménagements étaient indispensables après l’acquisition. Et c’était l’objet du comité de pilotage, auquel l’opposition a participé sans faire de propositions alternatives.
 De plus, l’ancienne majorité (aujourd’hui minoritaire), a annoncé la Halle sportive de la Minais à 5 Millions €, ... avec un coût final de 7,2 Millions € !
 De plus, au moment de l’achat du parc Auvigne, la minorité a lourdement condamné le fait de se limiter au parc, sans acheter la résidence et ses annexes. Si nous les avions suivi, il aurait fallu rendre ces bâtiment accessibles, les isoler et les adapter à leur nouvelle fonction. Ce qui aurait porté le total à plus de 3 millions € ; alors que nous avons surtout besoins d’investir dans la rénovation et l’isolation des locaux municipaux actuels (qui n’ont pas été entretenus correctement), qui sont suffisants pour les activités municipales et associatives.Pour plus d’informations sur le projet du Parc Auvigne, lire l’article de Ouest-France en cliquant ici 3/ Autres Informations : (l’opposition n’a pas manifesté son opposition sur ces points)  Jardins familiaux aux Islettes :  ils vont comprendre 21 parcelles + une parcelle collective et une zone de convivialité. Une convention va être signée avec une nouvelle association qui se charge de gérer le lieu. La réception est prévue en mars 2025. Jardins familiaux aux Islettes :  ils vont comprendre 21 parcelles + une parcelle collective et une zone de convivialité. Une convention va être signée avec une nouvelle association qui se charge de gérer le lieu. La réception est prévue en mars 2025. Passerelles sur le ruisseau de l’Aubinière : Nantes Métropole a engagé le projet « Étoile verte » afin de mettre en réseau les promenades le long des principales rivières du territoire (Loire, Erdre, Sèvre, Cens et Chézine), les mettre en valeur et les faire connaître aux habitants de la métropole. L’agglomération souhaite intégrer le secteur Bois Brilland, Parc Auvigne – Bois du Seil à cette étoile verte. Pour cela Nantes Métropole souhaite construire 2 passerelle au dessus de l’Aubinière. Elle propose d’en confier la maitrise d’ouvrage à la commune de Sainte-Luce (coût estimé à 133 000 €HT). Passerelles sur le ruisseau de l’Aubinière : Nantes Métropole a engagé le projet « Étoile verte » afin de mettre en réseau les promenades le long des principales rivières du territoire (Loire, Erdre, Sèvre, Cens et Chézine), les mettre en valeur et les faire connaître aux habitants de la métropole. L’agglomération souhaite intégrer le secteur Bois Brilland, Parc Auvigne – Bois du Seil à cette étoile verte. Pour cela Nantes Métropole souhaite construire 2 passerelle au dessus de l’Aubinière. Elle propose d’en confier la maitrise d’ouvrage à la commune de Sainte-Luce (coût estimé à 133 000 €HT). Toutes les délibération concernant la décision modificative du budget, ainsi que celle concernant les délégations de services publics ont été votées à l’unanimité, exceptée la globalité de cette Décision Modificative, parce qu’elle inclut l’augmentation des crédits pour le Parc Auvigne. Toutes les délibération concernant la décision modificative du budget, ainsi que celle concernant les délégations de services publics ont été votées à l’unanimité, exceptée la globalité de cette Décision Modificative, parce qu’elle inclut l’augmentation des crédits pour le Parc Auvigne. Adoption de l’adhésion aux contrats de prévoyance proposés pour l’ensemble des Agents municipaux par le centre de gestion, avec participation financière de la ville variant de 80% pour les plus bas salaires à 50% pour le plus hauts. Adoption de l’adhésion aux contrats de prévoyance proposés pour l’ensemble des Agents municipaux par le centre de gestion, avec participation financière de la ville variant de 80% pour les plus bas salaires à 50% pour le plus hauts. Le Conseil approuve l’adhésion de Sainte-Luce au service commun de Nantes Métropole concernant la "Gestion documentaire et archives". Le Conseil approuve l’adhésion de Sainte-Luce au service commun de Nantes Métropole concernant la "Gestion documentaire et archives". Transfert du MIN de Nantes à Rezé : Le Conseil municipal prend acte le rapport de La Chambre Régionale des Comptes. Transfert du MIN de Nantes à Rezé : Le Conseil municipal prend acte le rapport de La Chambre Régionale des Comptes.
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			‘Défense des services publics’27 novembre 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement DurableC’est le titre du dernier N° d’Alternatives économique (déc.2024). Quelques exemples chiffrés font douter du bien fondé de ces attaques des libéraux. NON, la France n’est pas suradministrée :  Le salaire net moyen en Euro constant des agents de la fonction publique d’Etat a diminué de 2,21 % en 2022, par rapport à 2021, selon l’INSEE. Les fonctionnaires abusent-ils des arrêts maladie (‘justifiant’ la décision gouvernementale de passer de 1 à 3 le nombre de jours de carence) ? 
 Une étude de l’Insee a analysé les conséquences de l’instauration d’un jour de carence pour les arrêts maladie en 2012. Elle révèle que les arrêts de moins d’une semaine ont bien diminué, … mais que les arrêts de plus d’une semaine ont augmenté. Est-ce une mesure rentable ??Logements sociaux : En 2016, il y avait 4,5 millions de logements sociaux pour 4,7 millions en 2023. Mais le nombre d’attributions a diminué de 6 % sur la même période, avec un allongement des délais d’attente... Inégalités de patrimoine : entre 1998 et 2021, le patrimoine brut moyen des 10 % les moins bien dotés a baissé de 54 % ; alors que celui des 10 % les mieux dotés a augmenté de 94 %. Le Cantal a perdu 82 % de ses écoles maternelles entre 1980 et 2015, et encore 22 % entre 2015 et 2020 ! 
 Et les inégalités d’accès aux soins de santé sont évidents pour les zones rurales.Moins de Sécu, plus de frais pour les patients : 
 Le reste à charge des patients pour les consultations des médecins généralistes et des sages-femmes va passer de 30 % à 35 %.
 Conséquence, ce sont 5 % qui devront être pris en charge par les mutuelles, …, qui ne manqueront pas d’augmenter leurs tarifs !Combien de pauvres en France ? 
 Jusqu’à présent les chiffres ne concernaient que la France métropolitaine. Leur nombre est de 9,1 millions de personnes.
 Mais ce chiffre ne comptabilisait pas les SDF, les personnes vivant en communauté (prisons, citésU, Ehpad, casernes, foyers de travailleurs, habitat mobile, …), ni les populations ultramarines.
 Si on réintègres ces populations de France métropolitaine (en 2022) et les DOM (hors Mayotte) en 2021, on arrive à un chiffre plus élevé : 11,2 millions de personnes.Pourtant, c’est possible au Royaume Uni : 
 Le gouvernement travailliste de Keir Starmer veut mettre le paquet sur les services publics et financer ces dépenses par des hausses d’impôts importantes, notamment pour les employeurs.
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			Pour un référendum sur l’accord UE-Mercosur21 novembre 2024, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Développement Durable 
 Le monde paysan connaît en silence le plus grand plan social depuis 50 ans : une ferme disparaît chaque heure en France.
 Pourtant, la Commission européenne pousse pour signer au plus vite l’accord de libre-échange entre l’Union européenne (UE) et le Mercosur (Argentine, Bolivie, Brésil, Paraguay et Uruguay). Cela va encore affaiblir l’agriculture sur notre continent en abaissant les droits de douane sur des dizaines de milliers de tonnes de bœuf, de volaille, de miel ou de sucre de canne produits dans de gigantesques exploitations agro-industrielles, non soumises aux normes sanitaires, environnementales et sociales que nos éleveurs et éleveuses doivent respecter.
 La ratification de ce traité organiserait une concurrence déloyale inacceptable et signerait la mort de très nombreuses fermes en France et en Europe.
 Nous devons défendre nos droits et la protection de l’environnement par la démocratie.Nous appelons donc Emmanuel Macron, Président de la République, à proposer la ratification d’un éventuel traité par référendum. Le peuple français doit avoir son mot à dire sur le modèle agricole qu’il souhaite. Pour signer l’appel, je clique ici Pour en savoir plus : 
 Notre décryptage : "Accord UE Mercosur : Pourquoi faut-il s’y opposer ?" cliquer ici
 • "Accord UE-Mercosur : La France est-elle la grande perdante ?" Marine Tondelier invitée du débat du 7/10 de France Inter du 20 novembre face à l’économiste Jean-Marc Daniel. cliquer ici
 • Dépêche AFP : Marine Tondelier favorable à « un référendum » sur le traité de libre-échange entre l’UE et le Mercosur. cliquer ici
 • L’appel de plus de 600 parlementaires français à Ursula von der Leyen : "Les conditions pour l’adoption d’un accord avec le Mercosur ne sont pas réunies" à l’initiative de Yannick Jadot. cliquer ici
 • Marine Tondelier dialogue avec les agriculteurs Jérôme Bayle et Didier Giraud. cliquer ici
 • "On est en train d’importer du dérèglement climatique et de l’effondrement de la biodiversité", l’intervention de Benoît Biteau, agriculteur et député de Charente Maritime sur le plateau de C ce soir. cliquer ici.
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