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World clean up day à Sainte-Luce
Reprise du message de Clémentine
16 septembre 2020, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Développement DurableLe nettoyage de la commune, dans le cadre du world clean up day, c’est samedi de 14h30 à 16h30.
Pour participer, il suffit de se rendre, à 14h30, à l’un des points de rendez-vous :
Centre-ville : Mail de l’Europe, à hauteur de la salle Renée Losq
Collège La Reinetière, Bd L. Pasteur
La Minais : croisement rue Olympe de Gouges - route de la Minais
Les Islettes, arrêt bus « La Haie » rue de la Bougrière
Bellevue, sous le pont côté Est
Les déchets recyclables (cannettes, bouteilles plastiques, cartonnettes et cartons non souillés) seront collectés dans des sacs jaunes. Les mégots le seront dans des sacs transparents ou des bouteilles plastique. Le verre sera collecté séparément et mis dans les cuboverres le long du parcours. Tous les autres déchets seront collectés dans les sacs noirs. En cas de doute, les déchets vont dans le sac noir. Merci de ne pas mélanger les types de déchets.
Les sacs seront fournis aux points de rassemblement. Après collecte, ils sont à ramener aux points de rassemblement.Venir avec masque, gants, gilets fluorescents et chaussures fermées + stylo
En raison du covid-19, le port du masque et des gants sera obligatoire durant tout le nettoyage. De plus chaque participant(e) devra remplir un bulletin de participation (modèle joint : cliquer ici que tu peux apporter rempli) ceci, dans le cas éventuel de déclenchement d’un cluster COVID 19, afin de pourvoir indiquer qui contacter aux autorités sanitaires.Joint également, le document de WCUP France précisant les conditions sanitaires à respecter lors des manifestations du 19 septembre pour le lire, cliquer ici. La page 5 du document précise les "consignes de sécurité renforcées".
A samedi !
titre documents joints :- info document (Word - 90 ko)
- info document (PDF - 967.4 ko)
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« 5G, numérique : nous voulons un débat démocratique »
Appel lancé par 11 maires de grandes villes et 57 élus nationaux et européens
14 septembre 2020, par Patrick Cotrel - #Au fil des jours - #Energies - Climat - #Développement DurableLe gouvernement va attribuer dès septembre aux opérateurs de téléphonie mobile le déploiement du réseau ‘5G’, sans étude d’impact climatique et environnementale ni consultation publique préalable, contrairement à l’avis de la convention citoyenne pour le climat. Et tout cela sous prétexte qu’il ne faut prendre aucun retard dans la course internationale « pour le progrès ».
Pour ma part, j’ai publié 3 articles récents sur ce sujet dans ce blog :
Civilisation du numérique et transition écologique (fév.2020) Pour le lire, cliquer ici
La ’5G’, un projet dangereux ! (fév.2020) Pour le lire, cliquer ici
A-t-on vraiment besoin de la 5G ? (août 2020) Pour le lire, cliquer ici
Dans son N° de janvier 23020, ’Alternatives Economiques’ posait clairement les termes du débat :
10 % de la consommation électrique mondiale va au numérique,
en France, 70 % de cette consommation électrique est utilisée pour la consommation des centres de données, soit l’équivalent des 2/3 de la consommation des chauffages électriques. On ne sait pas où est le ‘cloud’, mais il consomme dur !
de plus, le réseau mobile est beaucoup plus gourmand que la fibre optique. Par exemple : 10 fois plus de consommation pour une même quantité de données !
la vidéo représente à elle seule 75 % du trafic mondial sur internet. Et ce trafic ne cesse d’augmenter (Netflix, youtube,Facebook, …) : il représentera 82 % en 2022 ! Avec la 5G, la très haute définition va se répandre sur les smartphones. Elle représente un volume de données plus de 100 fois supérieur à la définition standard !
Sur le cycle de vie d’un smartphone, la production représente 90 % de son empreinte énergétique et la recharge de la batterie 10 %. Or la grande majorité des smartphones en circulation ne sont pas compatibles avec la 5G…
Dans le Journal Du Dimanche d’hier, 11 maires de grandes villes (dont Bordeaux, Lyon, Marseilles...) et 57 élus nationaux et européens (dont Yannick Jadot, François Rufin et Jean-Luc Mélanchon…) réclament un moratoire permettant de faire les études d’impact et d’avoir un débat démocratique sur ce sujet. Ils constatent que l’utilité et l’urgence de cette technologie n’est pas évidente, en raison de son impact sur les gaz à effet de serre et le climat, ainsi que les conséquences sur la santé (les ondes de la 5G vont s’additionner aux autres) ou l’accaparement des données personnelles.
Dans leur texte ils réclament que la priorité soit donnée à la lutte contre la fracture numérique, la couverture de la 4G et de la fibre optique dans les zones rurales.Pour lire la tribune des soixante élus, cliquer ici
Pétition et plainte au Conseil d’Etat :
Alors que le gouvernement espérait passer en force en attribuant les fréquences 5G sans débat ni études d’impact, Agir pour l’Environnement et PRIARTEM ont saisi le Conseil d’Etat et lancé une pétition électronique rassemblant près de 100 000 signatures, afin que la 5G ne soit pas un sujet a-démocratique.
La convention citoyenne pour le climat a également proposé qu’avant tout développement des réseaux de cinquième génération de téléphonie mobile, soit menée une évaluation environnementale et sanitaire. Reçues par la secrétaire d’Etat à l’Economie, les associations dont Agir pour l’Environnement et PRIARTEM n’ont pu que constater l’influence des lobbies de la téléphonie mobile.
La secrétaire d’Etat à l’Economie a en effet rejeté toute idée de moratoire sur la 5G, confirmant un calendrier ne permettant aucune évaluation sérieuse en matière sanitaire et environnementale.Alors que le chef de l’Etat s’était engagé à "traduire sans filtre" les propositions émanant de la Convention citoyenne pour le climat, il aura fallu moins d’une semaine pour constater que le tournant écologique maintes fois annoncé est une nouvelle fois ajourné !!! Beaucoup de paroles... !
Pour signer la pétition, cliquer ici.
titre documents joints :- info document (PDF - 224.4 ko)
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Evolution du chômage à Sainte-Luce
13 septembre 2020, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #EmploiLe ministère du travail a enfin publié les statistiques annuelles 2019, (en date de fin décembre, normalement publiées en février !) du chômage par commune.
Je suppose qu’il attendait la fin des opérations électorales municipales.
Précisions :Ces statistiques portent sur l’ensemble des demandeurs d’emploi de catégories A, B et C. Elles incluent donc non seulement celles et ceux qui n’ont effectué aucun travail en décembre 2019, mais aussi celles et ceux qui on accepté de faire un ’petit boulot’ de quelques heures ou quelques jours au cours du mois ;
Ces statistiques sont brutes, c’est à dire sans corrections saisonnières. Celà ne pose pas de problème, puisqu’elles sont annuelles.
Une très légère décrue du chômage :
En 2019, ce nombre a légèrement diminué, passant de 1190 à 1180, soit une diminution de 0,8 %. Il faut quand même noter que cette décrue est très inférieure à celle enregistrée au niveau national (-3,2%), et même au niveau départemental (-2,4%).
Sur 10 ans, on ne note pas d’écart important entre femmes et hommes (voir courbes en annexe). Par contre, il y a des disparités importantes entre les tranches d’âge :le nombre de jeunes chômeurs a nettement moins augmenté (70 % en 10 ans) ;
c’est la tranche d’âge des 25-49 ans qui a le plus augmenté en nombre (de 305 à 750), mais ce sont le plus âgés dont le nombre a augmenté le plus en pourcentage (+220%)
Une situation qui reste très alarmante :
En 10 ans, le nombre de chômeurs est passé de 495 à 1180, soit une augmentation de 138,4 % ! Alors que la population à Sainte-Luce n’a augmenté que de 30 % ; alors qu’au niveau national, cette augmentation n’a été que de 41,2 %
Il est temps que la municipalité se penche enfin sur cette question, même si elle n’est pas responsable de cette situation.Le détail des chiffres :
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Quelle zone industrielle au Carnet ?
8 septembre 2020, par Patrick Cotrel - #Conseil régional - #Energies - Climat - #Développement DurablePour favoriser la relance de l’économie, le gouvernement Macron a créé des zones d’activité « prêtes à l‘emploi » (ou clé en mains), afin de réduire les délais de démarrage. Les activités ainsi favorisées devraient être en rapport avec la transition écologique et numérique… La zone du Carnet a été donné comme exemple.
Les plus anciens se souviennent de ce site où devait être construite une centrale nucléaire il y a quelques dizaines d’années. Après une large mobilisation, ce projet fut abandonné après l’arrivée de François Mitterrand à la présidence de la République.
Sauf qu’il serait écologiquement responsable de ne pas trop consommer des surfaces naturelles ou cultivées au profit des activités industrielles ou du logement, et d’être aussi rigoureux pour l’étalement industriel et commercial qu’on ne l’est (à juste titre) pour l’étalement urbain.
Le port autonome de Nantes-Saint-Nazaire s’est précipité pour s’étendre, sans se poser la question de la possibilité de réorganiser ses infrastructure existante, comme le port à charbon de Montoir qui va devoir grandement réduire son activité (au moins). A signaler aussi que ce site est aujourd’hui plus fragile, puisqu’il a été submergé lors de la tempête Xintia.
Voir ci-dessous le communiqué de presse élaboré par les élu.e.s écologistes et citoyens du Conseil Régional et l’organisation EELV des Pays de la Loire.
Nantes, le 4 septembre 2020
L’estuaire de la Loire comprend plus de 20 000 hectares de zones naturelles. C’est aujourd’hui le seul grand estuaire français qui ne bénéficie pas d’une protection écologique et juridique suffisante.
Le Grand Port Maritime de Nantes-Saint-Nazaire porte un projet d’extension sur le site du Carnet visant à transformer 110 hectares d’une zone naturelle de l’estuaire en parc d’activités éco-technologiques. Pour nous, représentant.e.s d’EELV Pays de la Loire, élu.e.s. EELV des Pays de la Loire et élu.e.s écologistes et citoyens au Conseil régional, la priorité doit aller à la préservation des espaces naturels et non industrialisés. Nous demandons donc au Grand Port Maritime de stopper son projet d’extension sur le site du Carnet et de chercher d’autres solutions que l’artificialisation d’espaces naturels de l’estuaire dans la stratégie de développement de ses activités à court et à long terme, à penser dans la perspective d’une démarche de transition écologique et énergétique.
Optimiser l’espace portuaire plutôt qu’artificialiser de nouveaux espaces
Plus que jamais aujourd’hui, le raisonnement qui conduit à privilégier les nouvelles implantations industrielles sur des espaces naturels est à inverser. A l’heure du défi climatique et du risque de submersion, l’implantation de nouveaux projets portuaires est à envisager en priorité sur les friches industrielles existantes ou futures. Le Grand Port Maritime doit faire d’urgence un état des lieux de ses espaces portuaires et définir à la fois une politique de densification foncière en optimisant les espaces existants et une politique de préservation ou de restauration des espaces naturels.(*) C’est dans ce cadre que se développeront de nouveaux emplois et activités pérennes dans des secteurs d’avenir comme celui des énergies marines renouvelables.
L’écologie de demain ne s’inventera pas en bétonnant l’espace naturel du Carnet
Le projet du Carnet est l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire. Sous couvert d’installation d’entreprises éco-technologiques, dont aucun projet concret n’existe à ce jour – malgré les recherches du GPM en ce sens depuis 3 ans -, le Grand Port Maritime s’apprête à remblayer et bétonner 110 hectares de zones naturelles, dont une partie de zones humides et submersibles. Dans le contexte actuel de crise climatique et d’extinction de la biodiversité, il n’y a pas lieu de réaliser ces travaux.
Renouveler le dialogue avec toutes les parties prenantes
Aujourd’hui, l’enjeu de la préservation de l’estuaire ne peut être dissocié de la stratégie de maintien et développement des activités du Grand Port Maritime. Il y a donc urgence à réunir tous les acteurs autour de la table : direction du port, Etat, collectivités, associations, riverains et entreprises pour remettre à plat la stratégie du Grand Port Maritime et prioritairement engager un dialogue sur l’avenir de l’estuaire en tant que territoire de biodiversité à préserver, en intégrant le risque de submersion aujourd’hui sous-estimé, ainsi que le développement du port autour d’une industrie écologique.
EELV Pays de la Loire, les élu.e.s EELV des Pays de la Loire et les élu.e.s du groupe Ecologiste et Citoyen au Conseil régional -
Rassemblement des coquelicots à Sainte-Luce vendredi 4 sept à 18h30
Place du 11 novembre (face à l’église)
4 septembre 2020, par Patrick Cotrel - #Sainte-Luce - #Energies - Climat - #Développement DurableExcuses aux lecteurs de ce blog
L’accès à ce blog a été interrompu pendant 4 jours, pour des raisons techniques.
Ces problèmes sont maintenant résolus.
Bonne lecture.
Patrick Cotrel
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.Pour lire le message (important) de Fabrice Nicolino, fondateur du mouvement "Nous voulons des coquelicots", cliquer ici.
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